Amiens: Im Stadtzentrum dürfen Obdachlose ab dem 1. Mai nicht mehr betteln

https://www.liberation.fr/societe/ville/amiens-en-centre-ville-les-sans-abris-nauront-plus-le-droit-de-faire-la-manche-a-partir-du-1er-mai-20240427_XHK7BZVZZRANZKCXWXRM7SOCKU/

Von Ubik78

15 Comments

  1. > La mairie, qui dit craindre une arrivée massive de sans-abris chassés de la capitale pendant les Jeux olympiques, a publié jeudi 25 avril un arrêté leur interdisant de faire la manche dans les principales artères commerçantes du centre.

  2. Et évidemment ça s’accompagne d’un revenu inconditionnel pour ne pas juste être une mesure visant à tuer un maximum de pauvres. Hein Anakin ??

  3. cookiedanslesac on

    En même temps le 1er mai c’est la fête du travail, normal que les gens dont le travail est de mendier doivent chômer ce jour là /s

  4. Omochanoshi on

    Les SDF, c’est un peu comme les migrants. Tout le monde s’accorde à dire que c’est le symptôme d’un problème, mais personne ne cherche à résoudre le problème. Taper sur le symptôme est tellement plus facile.

  5. tr00_dBalle on

    > En cas de non-respect de l’arrêté, la police municipale pourra verbaliser les personnes concernées, ou leur demander de partir.

    Oui donc ils ne pourront rien faire. Les amendes, ils sont insolvables de toute facon. et leur “demander de partir”, hmm je me demande bien ce qui va le plus gener les commercants. Des gens qui font la manche ? ou des flics qui passent leur temps a se prendre la tete avec les SDF devant le magasin ?

    Bref, un texte fait par des tocards, pour des tocards. Comme toujours en France.

  6. Pour info c’est seulement depuis les années 90 que la mendicité est licite.

  7. Je propose qu’on leur mette des amendes.

    ^^Comment ^^ça ^^personne ^^rigole ^^? ^^Attends ^^mais ^^ils ^^l’ont ^^vraiment ^^fait ^^les ^^cons ^^??

  8. Stradivare on

    Rendre illégale la pauvreté a toujours été un objectif pour certains.
    Notre ministre du logement actuel avait planté dans la loi anti-squat un bel amendement pour rendre les loyers impayés pénalement répréhensible (sous des conditions plus faciles qu’aujourd’hui), heureusement non approuvé, même pas son propre parti.

  9. > La loi, dans un grand souci d’égalité, interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain

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